|
|
|
|
mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Les mains
21/09/2005 15:12
Les mains
Les mains, les mains des tout petits enfants, Perles d'amour, adorables, jolies fleurs, Caresses sur la vie, toujours en avant Nous donnant des éclats de bonheur.
Les mains, les mains du pianiste, habiles, Endolories par l'instrument qui abuse, Mais divines perles, nous faisant voir la vie En chansons et sonates, douces muses.
Les mains, les mains de tous les amoureux, Les tiennes quand elles me reviennent Les miennes te serrant - nous heureux -, Les nôtres, essuyant les larmes, les peines.
Les mains, les mains de nos chers vieux, Tachées et ridées de tant de labeurs, Qui ont tracé pour nous d'autres cieux, Des sentiers d'étoiles où courent les bonheurs.
Les mains, les mains de toutes les femmes, Qui caressent et consolent tous les pleurs, Doux pétales de rose effaçant les drames Et mettant au monde les grands bonheurs.
Les mains, les mains de tous les écrivains, Celles des poètes de l'âme et de l'amour Qui "parlent" en traçant les lendemains Les plus belles appartiennent à -toujours -.

| |
|
|
|
|
|
|
|
Messire Soleil
21/09/2005 15:08

Messire Soleil
Très tôt, messire Soleil, ce matin s'est levé, Car il doit parcourir fort longue randonnée A travers mon pays, en ce long jour d'été. Il nous est apparu empreint de dignité, Tel vaillant coursier filant vers sa destinée, Libre comme le vent, nullement entravé.
Partout, sur son parcours, il projette sans cesse Beaucoup d'énergie, de clarté et de chaleur. Complice de la pluie, il songe au lendemain. Réchauffant bien le sol, il fait germer les grains. Aux plantes du jardin, il apporte vigueur Et aux herbes des champs, distribue ses largesses.
Il fait murir les blés et les fruits du verger. Aux oiseaux, il inspire de merveileux refrains. Il apporte la joie et réchauffe le cœur Des grands et des petits, gens de toutes couleurs. Il peut même inviter vacanciers et forains A chercher quelque part, espaces ombragés.
Car indifféremment, il livre ses rayons A quiconque en réclame inconsidérément ... Et pour qui l'aime trop, il peut être implacable : Si messire Soleil distribue gratuitement, Faudrait-il, des abus, éviter la rançon.

| |
|
|
|
|
|
|
|
Flore Eternelle
21/09/2005 14:56
Au centre d'un terrain vivait un pissenlit Epargné par la providence, Les joueurs commettant le terrible délit De l'écraser par imprudence.
Le sifflet de l'arbitre acheva le bonheur De la jeune pousse angoissée Sous les éclats joyeux d'un public souteneur D'une affluence surpassée.
Les petits pas pillards d'un pitre piétinant, D'une brutalité fatale, Ecrasèrent la belle au corps déjà saignant Souillé jusqu'au moindre pétale.
Plusieurs mois sont passés mais un jour le destin Qui s'empara d'un footballeur Décora son repos d'un geste cabotin De quelques pissenlits en fleurs.
| |
|
|
|
|
|
|
|
La sirène et le dauphin
21/09/2005 14:50
La sirène et le dauphin
Au cœur de l'océan, la flore s'émerveille, Et cet endroit sublime est à l'aube l'attrait, Où dans l'éclat des flots la faune se distrait, Au paradis natal quand un être s'éveille.
Dans ce monde profond, la Sirène sommeille, Imaginant la nuit un Prince et son portrait. Puis, lorsque son doux rêve imagine l'abstrait, La lumière du jour tendrement la réveille.
Un dauphin se promène en jouant du courant. Stupéfait par la belle, il devient conquérant, Invitant à nager la noble créature...
Le galant ébloui refusa de partir, Car l'amour est plus fort quand l'heureuse aventure Débute loin des lois, sans jamais avertir.
| |
|
|
|
|